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Archives pour 24 septembre, 2007

LE PECHEUR MEXICAIN

Le pêcheur mexicain

 

Au bord de l’eau dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons. L’Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :  » Pas très longtemps « , répond le Mexicain. » Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus?  » demande l’Américain. Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille.L’Américain demande alors :  » Mais que faites-vous le reste du temps? «  » Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie « .

L’Américain l’interrompt :  » J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. « Le Mexicain demande alors :  » Combien de temps cela prendrait-il? «  » 15 à 20 ans « , répond le banquier américain.

 » Et après?  »

 » Après, c’est là que ça devient intéressant « , répond l’Américain en riant.

 » Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions « .

 » Des millions? Mais après? «  » Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis. « Auteur inconnu

Ce court dialogue humoristique entre un simple pêcheur mexicain et un financier américain nous révèle tout le sens de la vie en quelques lignes

LE GRILLON

Le grillon !

Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient près de Times Square dans Manhattan. C’était durant l’heure du lunch et les rues étaient bondées de monde. Les autos klaxonnaient de plus belle, les autos taxi faissaient crisser leurs pneus sur les coins de rue, les sirènes hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd. Soudain, l’amérindien dit, « j’entends un grillon. »

Son ami répondit, « Quoi? Tu dois être fou. Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme! »

« Non, j’en suis sûr, » dit l’amérindien, « j’entends un grillon. »

« C’est fou, » dit l’ami.

L’amérindien écouta attentivement pendant un moment, puis traversa la rue jusqu’à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes. Il regarda à l’intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance il localisa un petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.

« C’est incroyable, » dit son ami. « Tu dois avoir des oreilles super-humaines ! »

« Non, » répondit l’amérindien. « Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes. Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre. »

« Mais ça ne se peut pas ! » dit l’ami. « Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit. »

« Oui, c’est vrai, » repliqua l’amérindien. « Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer. »

Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir. Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles, ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu’à une distance de sept mêtres d’eux, se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur.

« Tu vois ce que je veux dire? » demanda l’amérindien. « Tout ça dépend de ce qui est important pour toi. »


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Le petit prince

Le petit prince

Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...

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