Publié 25 septembre 2007
dans TEXTES A MEDITER
Troisième leçon importante – Pensez toujours à ceux qui servent.
À l’époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins,
un petit garçon de 10 ans entre dans le café d’un hôtel et s’assoit à une table.
Une serveuse dépose un verre d’eau devant lui.
» C’est combien pour un sundae de crème glacée ? » demande-t-il.
» 50 cents » répond la serveuse.Le petit garçon sort la main de sa poche
et se met à examiner la monnaie qu’elle contient.
» Bien, combien pour un simple plat de crème glacée? » demande-t-il.
À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table
et la serveuse commence à perdre patience. » 35 cents » répond-elle sèchement. »
Je vais prendre le plat de crème glacée » dit-il.
La serveuse lui apporte sa crème glacée,
dépose l’addition sur la table et s’en retourne.
Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s’en va.
Quand la serveuse revient, elle a la larme à l’oeil en nettoyant la table.
Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents .
Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae
parce qu’il devait lui rester suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.
Publié 25 septembre 2007
dans TEXTES A MEDITER
Deuxième leçon importante – L’aide sous la pluie
Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient
le long d’une autoroute de l’Alabama tentant de se protéger de la pluie battante.
Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d’un transport.
Détrempée, elle décide de demander l’aide de la prochaine voiture qui passe.
Un jeune homme blanc s’arrête pour lui porter secours,
situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux.
Le jeune homme l’amène en sécurité, l’aide à trouver du secours
et lui procure un taxi. Elle a l’air très pressée,
mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.
Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme.
À sa grande surprise, on lui livre un meuble télé couleur grand format.
Une note y est attachée. Elle dit :
» Merci beaucoup de m’avoir porté secours sur l’autoroute l’autre jour.
La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit.
Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j’ai pu me rendre
au chevet de mon mari mourant juste avant qu’il ne rende l’âme.
Dieu vous bénisse pour m’avoir aidé et pour votre dévouement
pour les autres. Bien à vous, Mme Nat King Cole. »
Publié 25 septembre 2007
dans TEXTES A MEDITER
Première leçon importante – La femme de ménage.
Durant mon deuxième mois au collège,
notre professeur nous a donné un petit examen surprise.
J’étais un étudiant consciencieux et j’ai répondu aisément
à toutes les questions jusqu’à ce que je lise la dernière :
» Quel est le prénom de la femme de ménage de l’école ? »
Il s’agissait certainement d’une blague.
Je l’avais rencontrée plusieurs fois.
Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine,
mais comment j’aurais pu savoir son nom ?
J’ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse.
Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière
question comptait pour la note de l’examen.
» Absolument » a répondu le professeur.
» Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.
Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins,
même s’il s’agit simplement d’un sourire et de dire bonjour. »
Je n’ai jamais oublié cette leçon.
J’ai aussi appris qu’elle s’appelait Dorothée.
Anonyme
Publié 25 septembre 2007
dans TEXTES A MEDITER
Chaque jour est une occasion spéciale !
Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sortit un petit paquet enveloppé de papier de soie: « ceci dit-il n’est pas un simple paquet, c’est de la lingerie ». Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle. « J’achetai ceci la première fois que nous allâmes à New York il y a 8 ou 9 ans. Elle ne l’utilisa jamais. Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale. Et bien…je crois que c’est le bon moment justement ». Il s’approcha du lit et rajouta ceci à d’autres choses que les pompes funèbres emmèneraient. Sa femme venait de mourir. En se tournant vers moi il me dit: « Ne garde rien pour une occasion spéciale, chaque jour que tu vis est une occasion spéciale ».
Je pense toujours à ces paroles….elles ont changé ma vie. Aujourd’hui je lis beaucoup plus qu’avant et je nettoie moins. Je m’assieds sur ma terrasse et admire le paysage sans prêter attention aux mauvaises herbes du jardin. Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis et moins de temps au travail. J’ai compris que la vie est un ensemble d’expériences à apprécier. Désormais je ne conserve rien. J’utilise mes verres en cristal tous les jours. Je mets ma nouvelle veste pour aller au supermarché si l’envie me prend. Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de Fête, je l’utilise dès que j’en ai envie. Les phrases du type « un jour… » et « un de ces jours… » sont en train d’être bannies de mon vocabulaire. Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses maintenant.
Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu’elle ne serait plus là demain (un demain que nous prenons tous à la légère). Je crois qu’elle aurait appelé sa famille et ses amis intimes. Peut-être aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s’excuser pour une vieille querelle passée. J’aime penser qu’elle serait peut-être allée manger chinois (sa cuisine préférée). Ce sont ces petites choses non faites qui m’énerveraient beaucoup si je savais mes heures comptées. Je serais énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact « un de ces jours »… Énervé de ne pas avoir écrit les lettres que j’avais l’intention d’écrire un de ces jours. Énervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime. Maintenant je ne retarde rien, ne repousse ou conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies.
Je me dis que chaque jour est spécial… chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale…
Auteur inconnu
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