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Archives pour novembre 2007
EN PRISON…vous passez la majeure partie de votre temps dans une cellule de 8×10.
AU TRAVAIL…vous passez la majeure partie de votre temps dans un bureau de 6×8.
EN PRISON…vous recevez trois repas par jour.
AU TRAVAIL…vous avez une pause pour un seul repas et vous devez le payer.
EN PRISON…on vous libère pour votre bon comportement.
AU TRAVAIL…on vous donne plus de travail pour votre bon comportement.
EN PRISON…un garde de sécurité vous ouvre et ferme toutes les portes.
AU TRAVAIL…vous devez avoir une carte d’accès et ouvrir toutes les portes vous-même.
EN PRISON…vous pouvez regarder la télé et jouer à des jeux.
AU TRAVAIL…on vous met à la porte si vous regardez la télé ou jouez à des jeux.
EN PRISON…vous avez votre propre toilette.
AU TRAVAIL…vous devez partager la toilette avec des idiots qui pissent sur le siège.
EN PRISON…on vous accorde la visite de votre famille et de vos amis.
AU TRAVAIL…vous pouvez à peine parler à votre famille au téléphone.
EN PRISON…les payeurs de taxes paient toutes les dépenses sans avoir à travailler.
AU TRAVAIL…vous devez payer toutes vos dépenses pour vous rendre au travail et on vous enlève les impôts sur vos revenus pour payer pour les prisonniersEN PRISON…vous avez à faire avec des gardiens à tendance sadique.
AU TRAVAIL…on les appelle des directeurs.
Un enfant demande à son père :
- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
Alors le père demande a son fils de le suivre ; ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire :
- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d’aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.
Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l’âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors :
- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant ils s’installent tous les deux sur l’âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant :
- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :
- Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C’est le monde à l’envers !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
- Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire. Fais ce qui te plaît et tu seras heureux.
Un sourire ne coûte rien,
mais il rapporte beaucoup.
il enrichit celui qui le reçoit
sans appauvrir celui qui le donne.
Il suffit d’un moment
pour esquisser un sourire,
mais son souvenir est parfois
inoubliable.
Nul n’est si riche ou si puissant
qu’il puisse s’en passer
et nul n’est si pauvre
qu’il ne puisse s’enrichir
en le donnant.
Un sourire crée
le bonheur au foyer,
encourage
la bienveillance en affaires
et scelle l’amitié.
Il apporte le repos
à ceux qui sont fatigués,
la joie à ceux qui sont découragés,
le soleil à ceux qui sont tristes.
C’est le meilleur antidote de la nature
contre les tracas de la vie.
On ne peut l’acheter,
l’emprunter ou le voler,
car il n’a de valeur
que lorsqu’il est donné.
Si vous rencontrez quelqu’un
qui ne vous donne pas le sourire
que vous méritez,
soyez généreux, offrez-lui le vôtre.
Car personne n’a autant besoin d’un sourire
que celui qui ne peut en accorder aux autres…
Frank Irving Fletcher
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