Publié 10 juin 2008
dans POESIE et QUESTION
Voilà, j’aimerais vous demandez si vous voulez bien répondre à cette petite énigme?
Ce sont des ouvriers qui travaillent dans une mine.
Entre leur habitation et leur lieu de travail, il y a une très grande ferme avec beaucoup de champs autour.
Le fermier très aimable leur permet de traverser ses champs. Ainsi les ouvriers ont beaucoup moins à marcher.
Puis un jour, le fermier interdit le passage. Et c’est tout à fait son droit.
Les mineurs vont en justie et surprise, ils gagnent le procès!
Pourquoi à votre avis?
Publié 10 juin 2008
dans TEXTES A MEDITER
J’ai entendu il y a peu de temps raconter cette petite histoire qui donne bien à réfléchir. C’était une jeune fille qui n’était pas correcte quand elle parlait à sa mère. Mais cette dernière qui était très polie, gardait son sang froid. C’était quand même difficile pour elle. Alors elle décida que chaque fois que sa fille serait grossière avec elle, elle enfoncerait un petit clou dans la porte. Et le lendemain, un clou, puis encore un. Et le temps passa. La fille se rendit compte un jour qu’il y avait beaucoup de clous sur la porte et elle commença à se rendre compte du mal qu’elle faisait.
Alors elle parla avec sa mère et devint plus sage. Alors toutes deux elle enlevèrent les clous. Mais la fille dit : «Maman, il reste des traces» « Oui ma fille, dit la mère, les clous ont abîmé la porte.
La moralité est que quand nous faisons du mal aux autres, ils peuvent nous pardonner, mais il restera toujours une cicatrice dans leur coeur.
Alors faisons toujours attention à nos propos.
Publié 10 juin 2008
dans TEXTES A MEDITER

Ce n’est pas celui qui critique qui est important, ni celui qui montre du doigt comment l’homme fort trébuche ou comment l’homme d’action aurait pu faire mieux.
L’hommage est dû à celui ou à celle qui se bat dans l’arène, dont le visage est couvert de poussière et de sueur, qui va de l’avant vaillamment, qui commet des erreurs et en commettra encore, car il n’y a pas d’efforts humains sans erreurs et imperfections. C’est à lui ou à elle qu’appartient l’hommage, à celui ou à celle dont l’enthousiasme et la dévotion sont grands, à celui ou à celle qui se consume pour une cause importante, à celui ou à celle qui, au mieux, connaîtra le triomphe du succès, et au pis, s’il échoue, saura qu’il a échoué alors qu’il risquait courageusement.
C’est pourquoi la place de cet homme ou de cette femme ne sera jamais avec ces âmes tièdes et timides qui ne connaissent ni la victoire ni la défaite.
Mahatma K. Gandi
Merci pour vos commentaires