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Archives pour 11 juin, 2008

William Scheller….Les filles de l’aurore°°°°

William Scheller....Les filles de l'aurore°°°° dans MES EMOTIONS EN CHANSONS qkkjak10

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La femme enfant°°°°

Regarde la briller

Du haut de ses vingt ans

Pas encore une femme

Mais plus une enfant

Et cette tendre flamme

Qui va susciter

Tant d’émoi

En un seul instant

Ses cheveux couleur « or »

Volent dans le décor

De ton ombre

Et elle sombre

Dans l’ouverture de tes bras

Regarde là

N’hésite pas

Le temps se fait court

En un sanglot sourd

Elle se blottit contre toi

Tu refermes tes pennes

Toujours elle sera « tienne »

(Chamade – juin 2008)

Une question d’attitude…

Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi ! » Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d’un restaurant à un autre pour la seule raison qu’ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.

Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : « Je ne comprends pas. Il n’est pas possible d’être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ? »

Et Jerry de répondre : « Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd’hui, ou bien je choisis d’être de bonne humeur, ou bien je choisis d’être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d’être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d’en être la victime, ou bien je choisis d’en tirer une leçon. Quand quelqu’un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d’entendre sa plainte, ou bien j’essaie de lui faire voir le bon côté de la chose. »

« Mais ce n’est pas toujours si facile », lui dis-je. Et Jerry d’enchaîner : « La vie, c’est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. »

Plusieurs années plus tard, j’entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu’on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s’est fait surprendre par trois voleurs armés.

En essayant d’ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n’arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n’ont pas traîné et il a vite été transporté à l’hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l’hôpital avec des débris de la balle qu’on n’avait pas réussi à lui retirer du corps.

J’ai revu Jerry six mois après l’incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. « Si j’allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ? » Je n’ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. Et Jerry de dire : « La première chose qui m’est venu à l’idée est que j’aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m’être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j’ai choisi de vivre. »

« T’as pas eu peur ? » lui dis-je. Et lui de répondre : « Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n’ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l’hôpital, j’ai vu l’expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j’ai eu peur. J’ai vu dans leurs yeux que j’étais un homme mort et j’ai su que je devais agir vite. »

« Et alors, qu’as-tu fait ? »

« Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me Bombardait de questions : elle voulait savoir si j’étais allergique à quelque chose. J’ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j’allais leur dire. J’ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j’étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j’avais fait le choix de vivre et qu’ils feraient mieux de m’opérer comme si j’étais un homme vivant plutôt qu’un homme mort ! »

Jerry a survécu grâce à l’expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante ! J’ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s’y emmerder tant qu’on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

Maintenant, c’est à vous de choisir :
1- ou bien vous faites disparaître ce message,
2- ou bien vous l’acheminez à des gens qui vous sont proches.

J’ai choisi la deuxième option et j’ose croire que vous en ferez autant.

Anonyme

Nicoletta….Il est mort le soleil°°°°°

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Un songe…

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Le laboureur m’a dit en songe : « Fais ton pain
Je ne te nourris plus : gratte la terre et sème. »
Le tisserand m’a dit : « Fais tes habits toi-même. »
Et le maçon m’a dit :  » Prends la truelle en main. »

Et seul, abandonné de tout le genre humain
Dont, je traînai partout l’implacable anathème,
Quand j’implorai du ciel une pitié suprême,
Je trouvais des lions debout sur mon chemin.

J’ouvris les yeux, doutant si l’aube était réelle ;
De hardis compagnons sifflaient sur leurs échelles.
Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés.

Je connus mon bonheur, et qu’au monde où nous sommes
Nul ne peut se vanter de se passer des hommes,
Et depuis ce jour-là, je les ai tous aimés.

Sully Prudhomme


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Le petit prince

Le petit prince

Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...

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