Fais bon accueil aux étrangers, car toi aussi, tu seras un étranger. | ||||||||||
[Roger Ikor] Extrait de Les eaux mêlées |
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![]() nous voulons tous être heureux |
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quel que soit l’endroit où l’on se trouve.
Fais bon accueil aux étrangers, car toi aussi, tu seras un étranger. | ||||||||||
[Roger Ikor] Extrait de Les eaux mêlées |
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![]() nous voulons tous être heureux |
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quel que soit l’endroit où l’on se trouve.
La fille d’un prédicateur réputé a été interviewée dans un talk-show télévisé et l’animatrice lui a demandé « Comment Dieu a-t-il pu laisser une telle horreur se produire ? » (Les évènements du 11 septembre).
Cette jeune fille a donné une réponse aussi profonde que perspicace :
« Je crois que Dieu a été profondément attristé par tout ça, au moins autant que nous, mais depuis des années nous lui disons de sortir de nos écoles, de sortir de nos gouvernements et de sortir de nos vies.
En tant que « gentleman », Il s’est calmement retiré. Comment pouvons-nous alors espérer que Dieu nous donnera sa bénédiction et sa protection si nous insistons tant pour qu’il nous laisse seul ? »
Concernant les récents évènements, attaques terroristes, tueries dans les écoles, guerres, etc. Je crois que ça a commencé avec Madeleine Murray O’Hare qui s’est plainte de ne plus vouloir la prière dans les écoles, nous avons dit OUI.
Puis un autre a dit que nous ne devrions pas lire la Bible à l’école ? La même Bible qui enseigne » tu ne tueras point, tu ne voleras point, et aime ton prochain comme toi-même » et nous avons dit OUI.
Ensuite, le Dr. Benjamin Spock a dit que nous ne devrions pas taper nos enfants quand ils agissent mal car leur petite personnalité serait faussée et nous pourrions altérer leur estime personnelle.
Le fils du même docteur s’est suicidé. Ils disent qu’un expert devrait savoir de quoi il parle peu importe ce qu’il nous dit et nous avons dit OUI.
Maintenant, nous nous demandons pourquoi nos enfants n’ont pas de conscience, pourquoi il ne font pas la différence entre le bien et le mal, et pourquoi ils peuvent sans émotion tuer un étranger, un pair ou eux-mêmes.
Probablement qu’à force de profondes réflexions, nous en viendrons à la conclusion que ça a à voir avec le principe de »récolter ce qu’on a semé » !
C’est drôle de voir… à quel point il est simple pour les gens de rejeter Dieu pour se demander ensuite pourquoi leur monde devient un enfer … à quel point nous croyons tout ce que les journaux disent alors que nous remettons en question tout ce que la Bible dit.
C’est drôle de voir que nous pouvons envoyer des « blagues » par internet qui se répandent comme un feu de paille mais lorsqu’on envoie des messages à propos de Dieu, les gens y pensent à deux fois avant de les partager.
C’est drôle de voir que des articles impudiques, grossiers, vulgaires et obscènes se propagent si facilement et librement mais les discussions publiques sur Dieu sont supprimées des écoles et des entreprises.
C’est drôle de voir que quand vous allez partager ce courriel vous ne l’enverrez probablement pas à beaucoup de gens de votre carnet d’adresses parce que vous ne savez pas en quoi ils croient ou ce qu’ils penseront de vous.
C’est drôle de voir que nous nous préoccupons plus de ce que les gens pensent de nous que de ce que Dieu pense de nous. Partagez ce message si vous croyez qu’il en vaut la peine, sinon jetez-le ?
Personne ne le saura ! Mais si vous jetez ce processus de réflexion, ne vous plaignez plus du mauvais état du monde dans lequel nous vivons.
La vie est un voyage. On y avance pas à pas.
Et si chaque pas est merveilleux, si chaque pas est magique,
la vie le sera aussi.
Vous ne serez alors jamais de ceux qui arrivent
au seuil de la mort sans avoir vécu.
Ne laissez pas votre vie en morceaux épars.
Qu’elle devienne musique pour les autres !.
Que rien ne vous échappe.
Ne regardez pas les gens à la sauvette.
Prenez le temps de les regarder bien en face.
Ne parlez pas « à » vos enfants, mais prenez leur visage
dans vos mains et parlez « avec » eux.
N’embrassez pas qu’une seule fois, mais souvent.
Faites-le sans tarder.
Sensations, impulsions, désirs, émotions idées,
rencontres, ne jetez rien de tout cela.
Un jour vous découvrirez combien cela était grand et irremplaçable.
Chaque jour apprenez quelque chose de nouveau
sur vous même et sur les autres.
Chaque jour essayez de jeter un regard optimiste sur notre monde et prenez conscience aussi de tout ce qu’il contient de beau.
Surtout ne cédez pas devant ceux qui voudraient vous convaincre du contraire.
Regardez les fleurs. Regardez les oiseaux.
Ecoutez la brise du vent.
Mangez bien et sachez apprécier ce que vous mangez.
Et partagez tout avec les autres.
Et quel compliment quand on peut dire à quelqu’un :
« Regarde ce coucher de soleil ! »
Auteur Inconnu
Dis pépé, c’est quoi le bonheur ?
Le bonheur mon enfant, c’est d’avoir des yeux,
Même en vitrine, sous d’horribles lorgnons.
Pouvoir observer, sur la fleur, un bourdon
Gorgé de nectar, s’arracher vers les cieux.
Le bonheur, mon petit, c’est d’être fasciné
Par une perle de rosée, courant sur le fil de la vierge,
Dans une aube radieuse au soleil qui émerge,
Cordiale promesse d’une belle journée.
Le bonheur, tu sais, c’est pouvoir admirer,
Dans l’azur doré d’un printemps qui s’éveille,
Un magnifique rapace qui, de là-haut, surveille
Le lapereau étourdi qui a quitté son terrier.
Le bonheur, mon garçon, c’est pouvoir arpenter
La garrigue provençale, ta main dans la mienne :
Balade matinale, avant que ne survienne
Le vent brûlant, au zénith de juillet.
Le bonheur, mon enfant, c’est quand la pluie est tombée
Et fait que la terre craquelée et agonisante,
Exhale soudain une odeur douce et enivrante,
Pour remercier le ciel de la bienfaisante ondée.
Le bonheur, vois-tu, c’est, quand finit l’été,
Cueillir une pomme au sein du verger familial,
L’essuyer sur sa blouse, d’un geste machinal,
Puis mordre à belles dents, dans sa chair sucrée.
Le bonheur, tu sais, il se trouve n’importe où :
Se coucher dans le pré, écouter chanter l’herbe,
Le souffle du Mistral dans le chêne superbe,
Le murmure du ruisseau, polissant ses cailloux…
Je te souhaite des choses pures, du bonheur !
Point n’est besoin d’honneurs et de richesses.
Qu’un avenir utopique, et de folles promesses,
Ne puissent jamais, ô jamais ! endurcir ton coeur.
Pierre Clérico, 09/2000
Le bonheur, c’est tenir un enfant dans ses bras
Le serrer très fort contre soi
Il n’y a pas de plus grande joie
Merci pour vos commentaires