Ce que Belle préfère ce sont les bois.
Je la promène et dans un pré, je la lâche et je jette un bois
Elle court et me le rapporte et nous jouons ainsi un bon moment
A la maison si je dis « un petit bois », hop, c’est parti elle ne me laisse plus tranquille. Elle sait très bien ce que cela veut dire
Je l’aime mon chien
Et elle me le rend bien
L’homme pauvre, ce n’est pas celui qui ne possède rien ou peu de choses : c’est celui qui est pauvre dans ses idées, ses sympathies, ses appréciations, ses sentiments ; pauvre dans l’opinion qu’il a de lui-même, de sa propre destinée, de ses capacités, et qui commet le crime de se déprécier lui-même.
Trouvé sur le net
| Maman, il fait moire dans ma chambre. » (Amir, 3 ans) |
| « Maman, j’ai des frissons de chaleur. » |
| « J’ai oublié mon paramouille (parapluie) ! » |
| « Mon papa a un coffre à sourcils ! » |
| « Regarde, une montgolciel ! » |
| « Est-ce que je peux manger une snamwiche ? » (sandwhich) – Marie-Soleil, 4 ans |
| « À mon chalet, il y a des bâtons laveurs. » Samuel, 3 ans |
| « Maman, apprends-moi à fluter (siffler) ! » |
| « Maman, ça me gratte dans le dos. » |
| « Moi, je bois du jus de pomme et Papi, il boit du jus de rai-vin ! » |
| «Je t’aime, ma petite fille ! » « Moi non plus, maman ! » |
| « Je veux d’autres biscuits soldat (soda) avec ma soupe. » |
| « Grand-maman, quand est-ce qu’on va aller à la piscine musicale ? » Loïz, 3 ans |
| « J’ai mal à l’oreille, je veux mettre une mouette (ouate) dedans ! » |
| « Papa, on a mangé des chinoiseries ! » (des mets chinois) |
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Celui pour qui le théâtre est la joie de la métamorphose mourra acteur, même dans la cellule d’un couvent. Nicolaï Evreïnov |
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Celui qui a senti une fois dans ses mains trembler la joie ne pourra plus jamais mourir. José Hierro |
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Celui qui n’aime nul être ignore la joie de vivre. Mocharrafoddin Saadi |
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Celui qui ne retire pas de la joie de sa vie quotidienne doit la réorganiser. George Matthew Adams |
Va, chanson, à tire-d’aile
Au-devant d’elle, et dis-lui
Bien que dans mon coeur fidèle
Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte,
Ces ténèbres de l’amour :
Méfiance, doute, crainte,
Et que voici le grand jour !
Longtemps craintive et muette,
Entendez-vous ? la gaîté
Comme une vive alouette
Dans le ciel clair a chanté.
Va donc, chanson ingénue,
Et que, sans nul regret vain,
Elle soit la bien venue
Celle qui revient enfin.
| Paul Verlaine |
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Nous pouvons nous mentir, mais jamais nous ne réussirons à mentir à un enfant.
André Pronovost
Ne nous lassons jamais de contempler la beauté de la nature..
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