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Archives pour 26 juillet, 2008
Il était une fois un grand homme qui épousa la femme de ses rêves.
De cet amour naquit une petite fille.
Quand elle était toute petite, le grand homme la soulevait de terre,
Chantait un air et dansait avec elle autour de la pièce,
Et il lui disait : Je t’aime, petite fille.
Quand la petite fille atteignit l’âge de dix ans,
Le grand homme la prenait encore dans ses bras et lui disait : Je t’aime, petite fille.
Mais la petite fille faisait la moue et disait : Je ne suis plus une petite fille.
Alors l’homme riait et disait : Pour moi, tu seras toujours ma petite fille. La petite fille qui n’était plus une petite fille quitta la maison pour aller vivre sa vie.
Plus elle apprenait à se connaître elle-même,
Plus elle apprenait à connaître cet homme.
L’une de ses forces était la capacité d’exprimer son amour à sa famille.
Peu importe où elle allait dans le monde,
Le grand homme l’appelait et lui disait : Je t’aime, petite fille.Le jour vint où la petite fille qui n’était plus une petite fille reçut un coup de téléphone. Le grand homme était mal en point. Il avait eu une crise cardiaque.
Il ne pouvait plus sourire, rire, marcher, prendre quelqu’un dans ses bras,
Danser ou dire à la petite fille qui n’était plus une petite fille qu’il l’aimait. Aussi s’est-elle rendue au chevet du grand homme.
Quand elle entra dans la chambre, elle vit qu’il avait l’air petit et pas fort du tout.
Il la regarda et tenta de lui parler, mais il en était incapable.
La petite fille fit la seule chose qu’elle pouvait faire.
Elle grimpa sur le lit à côté du grand homme.
Des larmes coulèrent de leurs yeux quand elle mit ses bras
Autour des épaules désormais inutiles de son père.
La tête contre sa poitrine, elle pensa à plusieurs choses.
Elle se souvint des moments magnifiques qu’ils avaient vécus ensemble
Et comment elle s’était toujours sentie protégée et aimée par le grand homme.
Elle pensa à la peine qu’elle éprouverait,
Aux mots d’amour qui l’avaient réconforté et qu’elle n’entendrait plus.
Et alors elle entendit, venant de l’intérieur de l’homme, le battement de son cœur.
Le cœur battait régulièrement et sans s’inquiéter des blessures
Dont souffrait le reste du corps.
Et pendant qu’elle se reposait là,
Il se produisit quelque chose de magique.
Elle entendit ce qu’elle avait besoin d’entendre.
Le cœur de son père scandait les mots que sa bouche ne pouvait plus prononcer… Je t’aime, petite fille et elle fut réconfortée
Source : inconnu
Un petit garçon passe son samedi matin à jouer dans son grand bac à sable.
Avec sa pelle rouge,
il crée des routes et des tunnels pour ses petites voitures et ses camions.
Soudain, au milieu du sable, il découvre une grosse pierre.
Il creuse autour et avec bien du mal, roule la pierre jusqu’au bord de son carré.
Il essaye de soulever la pierre pour la sortir du carré,
Mais les bords sont assez hauts et il n’y arrive pas.
A chaque fois, elle retombe dans son carré.
Il pousse, grogne, lutte, se fait mal aux doigts mais comme récompense,
La pierre retombe toujours dans son carré de sable.
Alors il éclate en sanglots.
Son Père qui l’observe s’approche et lui dit doucement mais fermement :
Mon garçon, pourquoi n’as-tu pas utilisé toute la force disponible
Que tu possèdes pour te sortir de ce problème ?
Le Garçon en sanglots lui dit
Mais papa, je l’ai fait ! j’ai utilisé toute la force que j’ai !
Alors le père lui dit :
Tu n’as pas utilisé toute la force que tu possèdes,
Car tu ne m’as pas demandé de l’enlever
Et aussitôt, il saisit la pierre et la retire du carré de sable.
Et vous ?
N’êtes-vous pas parfois comme ce petit garçon ?
Avez-vous « une pierre » « un fardeau » « un problème » dans votre vie qui doit être retiré ?
Perdez-vous toute votre énergie à essayer de l’en sortir seul en vain ?
N’oubliez-pas.
Il y a toujours quelqu’un près de vous qui peut vous aider à vous en sortir !
Et n’oubliez pas de le demander. Il y aura toujours quelqu’un pour vous aider
Source : inconnu
La peur ne peut se passer de l’espoir et l’espoir de la peur. Baruch Spinoza
Même sans espoir, la lutte est encore un espoir. Romain Rolland
Si l’espoir fait vivre, ceux qui vivent d’espoir meurent de faim. Arsenic
Nos souvenirs sont le revers de nos espoirs. Maurice Chapelan
L’espoir est une mémoire qui désire. Honoré de Balzac
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