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Archives pour novembre 2008
On avance doucement sur le fil de la vie et on s’accroche pour maintenir le cap. Soudain, surgissent les obstacles et tout devient « menace ». Mais ce fil reste là nous narguant quelquefois. On voudrait enlever ces picots qui nous blessent. Que la vie soit une symphonie sans fausses notes.! Dans l’enfance les jours parfois sont noirs oui même là où on est « roi ». Les déchirures du coeur n’attendent pas le nombre des années. Les gestes d’une souplesse cruelle peuvent ternir l’éclat d’une joue pure. Que son nom soit oublié : celui qui a lésé l’innocence éprouvée. Dans l’adolescence tout va en cadence. Les amours trop « nouveaux », trop « beaux » se succèdent et le coeur à la fête on construit son « nid ». Mais le « coucou » n’est pas loin et on connaît alors son dessin. Dans le temps qui suit. Comment l’appelle-t-on au fait? Vous savez ce moment où on est « adulte »! On est dans le tumulte. La vie est une lutte et les couleurs varient chaque jour. Rose – noir- rouge. Joie – peine – colère− Le bleu du ciel n’est pas éternel et les jeux deviennent plus cruels. On rebondit, on crie, on rit. Les gestes sont plus rudes. Et sifflent les insultes et passent les amours trop souvent négligées par les coeurs trop pressés. Le fil est plus tendu. Le coeur n’y est plus. Puis chante un oiseau et s’ouvre une fleur. Le regard est plus clair.L’espoir renaît et puis les dîners aux chandelles n’existent pas que pour les « belles ». On s’imagine un conte de mille et un nuit et s’en vient la magie. Le rêve montre le bout de son nez et les pieds commencent à danser sur le fil qui se fait plus docile. Un air de musique sur le clavier du piano nous emporte vers des contrées imaginaires où on fait tout pour se plaire. On ne néglige rien. Chacun a son festin. Pas de pauvre, pas de riche. Oui, dans les moments de folie, on pense que tout ça n’a plus d’importance. Ou alors on a trop mal et on ne trouve pas ça normal. Qu’est-ce que j’aimerais prendre la main de ceux qui ne trouvent pas leur chemin sur le fil de la vie. Sur cette corde raide où se dressent les murs de « faim » de « froid » même pour les enfants-roi. Dans ces regards de « petits » il y a des lueurs de « vieux » quand on est malheureux. Rien qu’une fois qu’est-ce que je voudrais les serrer dans mes bras et les conduire vers la corde magique. Là où le miel coule plus que leurs larmes. Là où la chaleur est plus forte que leur charme. Ces gens-là ont un fil bien trop court. Et là-haut dans leurs tours, les « grands » n’ont rien de troubadours ». Tout ce désarroi, ils ne le voient pas! C’est tellement mieux comme ça. Et glissent mes mots pour dire que leur fil aussi aura une fin. Oui eux aussi auront besoin des autres demain. Mais demain c’est quand?
Chamade
Cookie Dingler….Femme libérée°°°°°
Publié 25 novembre 2008 dans MES EMOTIONS EN CHANSONS 4 CommentairesLe cordon ombilical est un lien tellement extraordinaire. Avez-vous déjà pensé à cette relation intime qui existe à travers le cordon ombilical ? C’est lui qui permet la vie. Sans lui pas de connexion, pas d’expansion, pas de naissance. Le cordon ombilical est essentiel. Celui qui l’a pensé, l’a créé savait ce qu’Il faisait.
Pourtant… autant il est le lien avec la vie, c’est lui qui doit être coupé pour vivre !
Source : http://www.sati.qc.html/le_cordon_ombilical.html.
Mais en réalité, certaines personnes n’arrivent jamais à le couper.
Fils! fils! écoute-moi. Je t’en supplie, ne réponds pas à mon brave coeur de mère, mais parle-moi, sans réfléchir à ce que tu dis. C’est la meilleure façon de penser correctement, en intellectuel et en bon fils.
[ Jacques ou la soumission ]
Citations de Eugène Ionesco
Livres de Eugène Ionesco
S’il existe une solitude où le solitaire est abandonné, il en existe une où il n’est solitaire que parce que les hommes ne l’ont pas encore rejoint. André Malraux
La solitude. Elle peut porter très haut, pourtant ce sera toujours un châtiment. Adolf Rudnicki
On n’est jamais aussi seul que lorsqu’on est sans espoir. Surtout lorsqu’on n’a plus d’espoir de pouvoir rompre le cercle de sa solitude. Marc-André Poissant
Merci pour vos commentaires