L’enfant chantait; la mère au lit, exténuée,
Agonisait, beau front dans l’ombre se penchant ;
La mort au-dessus d’elle errait dans la nuée ;
Et j’écoutais ce râle, et j’entendais ce chant. L’enfant avait cinq ans, et près de la fenêtre
Ses rires et ses jeux faisaient un charmant bruit ;
Et la mère, à côté de ce pauvre doux être
Qui chantait tout le jour, toussait toute la nuit.
La mère alla dormir sous les dalles du cloître ;
Et le petit enfant se remit à chanter…
La douleur est un fruit ; Dieu ne le fait pas croître
Sur la branche trop faible encor pour le porter.
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Elle est bien écrite cette poésie
mais elle est bien triste
un enfant a ce besoin « une mère »
plein de bisous pour toi
jade
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j’adore Victor Hugo
belle poésie
j’espère qe tu vas bien Francine
tu me diras?
bonne journée
bisous
francis
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l’enfance, une innocence bien fragile, superbe poesie
gros bisous francine et bonne journée
kikou Françine..
j’pouvais pas partir sans te souhaiter une bonne soirée.. bin, vlà ..c’est fait
bisouxxx baveuxxx
Dernière publication sur spécial papatte : tout doux
C’est encore actuel hélas ces histoires d’enfants qui restent sans maman ou sans papa pour diverse raison…
Amicalement et A+
Tritriva