Le jeune Heathcliff, recueilli dans la famille Earnshaw, doit faire face à un environnement hostile. Il se sent attiré par la fille de la maison, Catherine, qui lui montre les plus beaux côtés de cette vie à la campagne. La passion grandit entre eux mais leur amour est entravé par les origines modestes d’Heathcliff. Lorsqu’il revient, des années plus tard, devenu un jeune homme aisé, il tente de reconquérir Catherine. Leur amour impossible s’amplifie alors jusqu’à l’obsession.
Mon amour pour Heathcliff ressemble aux rochers immuables qui sont en dessous : source de peu de joie apparente, mais nécessité. Nelly, je SUIS Heathcliff ! Il est toujours, toujours dans mon esprit ; non comme un plaisir, pas plus que je ne suis toujours un plaisir pour moi-même, mais comme mon propre être. J’aime le sol qu’il foule, l’air qu’il respire, et tout ce qu’il touche, et tout ce qu’il dit. J’aime tous ses regards, et tous ses gestes, je l’aime entièrement et complètement. Voilà !
Je « ne lui dis jamais mon amour » en paroles ; pourtant, si les regards ont un langage, la plus simple d’esprit aurait pu deviner que j’étais amoureux fou.
Comme tout roman, celui-ci prend racine dans la vérité singulière de l’auteur. Avec la même matière, la romancière aurait pu choisir une autre trame : ce qu’elle a privilégié , c’est la solitude absolue de Heathcliff. Il est à part. Il n’appartient à rien, ni à personne. Seul au monde, il vient du néant malgré un départ, et un retour qui aurait pu se transformer en renaissance. Condamné à la solitude, il assouvit son mal intérieur par la violence retournée sur le moi. La création de Heathcliff remonte comme un noyé de la profondeur des souvenirs d’Emily Brontë : le désespoir de Branwell, son frère bien-aimé, la névrose du jeune homme développée par son amour contrarié pour Mrs Robinson ; la solitude du père , le pasteur demeuré veuf ; la mort des deux sœurs aînées – tous ces drames vécus à l’âge le plus tendre. »
J’avais beaucoup aimé ce livre j’ai du le lire deux fois , je ne crois pas avoir vu de films sur le sujet, en général je ne retrouve pas mon histoire, par contre il m’arrive de lire un livre après avoir vu le film .
Bonne journée bisous Jacqueline
Coucou, Francine, je vois que tu ne dors pas encore, alors je passe te souhaiter une douce nuit et te faire des bisous
Suzanne
Moi je vais aller au dodo
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Après l’avoir lu
j’ai adoré le film!!!
bon week end
bisous
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Une oeuvre incontournable !
Bisous, bonne journée Francine.
JC
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J’ai adoré ce livre !
aimé son adaptation cinématographique ;
ce que j’ai pu pleurer…
Bon vendredi bien au chaud Francine
bisous Anne
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J’avais beaucoup aimé ce livre j’ai du le lire deux fois , je ne crois pas avoir vu de films sur le sujet, en général je ne retrouve pas mon histoire, par contre il m’arrive de lire un livre après avoir vu le film .
Bonne journée bisous Jacqueline
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Qui n’a pas lu ce livre ? Je n’ai jamais vu le film !!!
ARSENE GRISALI
Bonjour, Francine, moi aussi j’ai aimé le livre et le film, merci de me rappeler cet oeuvre
Bon après midi, ici toujours la pluie
Bisous
Suzanne
Coucou, Francine, je vois que tu ne dors pas encore, alors je passe te souhaiter une douce nuit et te faire des bisous
Suzanne
Moi je vais aller au dodo