Pendant l’été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d’êtres humains dans son tourbillon.Nikolaus Sprink doit renoncer à la carrière prodigieuse de ténor à l’opéra de Berlin et ne plus voir Anna Sörensen, sa partenaire et compagne.Pour suivre le jeune Jonathan qui s’est engagé, et qui l’aidait beaucoup dans son église, le prêtre catholique Palmer quitte l’Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France.
Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l’ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui taraude toutes les nuits du lieutenant Audebert.
Le temps passant, la neige s’installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. Car c’est l’impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d’en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l’école aussi bien qu’à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C’est alors que l’on assiste à une trêve passagère, « au grand dam de leurs états-majors1 », entre les trois camps, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d’attachement, les chefs de ces trois camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. Une histoire réelle oubliée de l’Histoire elle-même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord, près de Lille, actuellement un parc et un centre équestre nommé l’AHFRA.
(source Wikipédia)
Tout est parti d’un livre, Batailles de Flandres et d’Artois 1914-1918 de Yves Buffetaut, que Christian Carion a découvert en 1993. Dans cet ouvrage, le réalisateur est tombé sur un passage intitulé L’Incroyable Noël de 1914, où l’auteur évoque les fraternisations entre ennemis, l’épisode du ténor allemand applaudi par les soldats français, le match de foot, les échanges de lettres, les sapins, les visites de tranchées mutuelles… Bouleversé par une telle trouvaille, l’apprenti-cinéaste a alors appelé son futur producteur, Christophe Rossignon, pour lui en toucher un mot et lui envoyer un synopsis. Ce dernier a trouvé le sujet magnifique, mais conscient de son ampleur, il lui a confié de d’abord faire ses armes en tournant quelques courts métrages. C’est après le succès du premier long de Christian Carion, Une hirondelle a fait le printemps, que le producteur l’a encouragé à s’atteler à ce qui allait devenir Joyeux Noël.
le pire c’est que les hommes qui se battent ne sont pas d’accord avec la guerre
ils y sont obligés!
bon dimanche
bisous
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Parenthèse fraternelle de notre histoire qu’aucun livre officiel ne relate,
pourquoi donc nous exclure de tous les possibles de cet amour que nous avons tous en commun,
voilà bien un film qu’il nous faut tous voir,
très bonne soirée Francine.
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Bonjour Francine
J’avais beaucoup aimé ce film à sa sortie….
Pour » contredire » gentiment ton titre : Y a t’il eu des guerres raisonnables ?????
Bizzzzzzzzzzz
Tân
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Bonjour, Francine, hélas c’est l’absurdité des guerre et comme dit Francis, les hommes en tant de guerre, n’ont pas le choix et lorsque ton pays est attaqué, le l’ai vécu enfant que faire. Sais-tu, quand mon fils est né, c’est la première choses à laquelle j’ai pensé qu’il ne parte jamais sous les drapeaux
Aucune guerre est raisonnable
Bonne fin de journée
Gros bisou
Suzanne
bonne journée Suzanne
bisous
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oups
bonne journée Francine
je me suis trompé en lisant le commentaire de Suzanne !
bizzzzz
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Bonjour, Francine, bonne fin de journée comme tu aimes
Bisssous
Suzanne
Bonjour Francine
Un petit coucou en passant…
Pas trop choquée par mon dernier article ?
Bizzzzzzzzzzzzzzz
Tân
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