Jane Perkins, anglaise d’origine a travaillé dans un hôpital londonien pendant dix-sept ans..Elle décide d’exploiter ses talents artistiques dans le textile et est diplômée en 2006..Elle s’oriente alors vers le plastique.. Dans sa collection appelée « Plastic Classics”, elle utilise tout ce qu’elle peut trouver à recycler des boutons aux bouteilles de soda vides en passant par des jouets et fourchettes en plastique entre autres afin de recréer des peintures comme La Joconde, des portraits de personnalités comme Albert Einstein ou Nelson Mandela.
Elle n’achète que les perles pour les yeux afin de mieux susciter l’émotion…
Regardées de plus près, ces oeuvres nous montrent un tas de petits détails..Jolie façon de recycler et tant mieux pour la planète…
Si vous désirez visiter son site, cliquez sur la dernière photo
J’ai tant de choses à te dire et puis tout se bouscule. Et je me rends compte à chaque fois que je termine une lettre, que j’avais encore mille trucs à écrire et que c’est encore une fois trop tard. La seule phrase que je n’oublie jamais c’est que je t’aime de plus en plus et que je suis Mon adoré, complètement folle de toi. C’est vrai, mon adoré je m’habitue de moins en moins à nos séparations et mon coeur se déchire à chaque fois un peu plus. Je t’aime si profondément, si fort dans moi, je suis imprégnée de toi et n’ai qu’une seule idée : te rendre heureux. Je serais capable de tout pour ton bonheur. Si tu savais les idées qui me traversent la tête, j’ai tant peur que tu aies de la peine à cause de moi, je ne veux jamais être une entrave à ton coeur. Quand je m’aperçois, mon amour, la place que tiennent dans ton coeur tes trois petits, j’ai envie de partir très loin me disant que peut-être un jour tu me seras reconnaissant de l’avoir fait. Ta vie est si solidement bâtie sur des choses que tu as voulues et construites toi-même, que des fois, j’ai des peurs atroces. Oh, chéri, Dieu m’est témoin que dans cette histoire, je ne demande rien et que je suis prête à tout sacrifier. Mais jusqu’à quand pourrons-nous vivre ainsi. Une lettre, un téléphone, une stupide coïncidence peut nous trahir et alors… ? Que deviendrons-nous ? Quelle sera ta réaction ? As-tu pensé à toutes ces choses ? Il le faut pourtant, car je ne veux pas qu’un jour tu me gardes une rancune de ce qui peut advenir ! Cela devient de plus en plus difficile pour nous et mon coeur tremble à chaque minute ! Je veux que tu penses à nous froidement, que tu regardes bien au fond de toi et savoir aussi les responsabilités à envisager au cas où… !
Comment es-tu ? Je suis si inquiète, tu me fais trembler tout le temps. Peut-être en Amérique allons-nous enfin être heureux. Chéri, je t’aime tant, tu ne peux savoir à quel point, tout au monde pour toi je ferais. Je me jette dans tes bras que j’adore, je t’appartiens, tout petit adoré que j’aime. Serre-moi fort contre ton coeur, empêche-moi de respirer et dis toi que rien au monde ne compte pour moi que toi, je te le jure sur ma voix, ma vie, mes yeux. Chéri, chéri, j’aimerais passer toute ma vie à tes pieds et te servir. Tu es si merveilleux et je t’admire tant. Momone et Loulou t’embrassent, quant à moi je te fais ce que tu veux. Moi petite.
Quinze longs jours encore et plus de six semaines Déjà ! Certes, parmi les angoisses humaines La plus dolente angoisse est celle d’être loin.
On s’écrit, on se dit comme on s’aime ; on a soin D’évoquer chaque jour la voix, les yeux, le geste De l’être en qui l’on mit son bonheur, et l’on reste
Des heures à causer tout seul avec l’absent. Mais tout ce que l’on pense et tout ce que l’on sent Et tout ce dont on parle avec l’absent, persiste A demeurer blafard et fidèlement triste.
Oh ! l’absence ! le moins clément de tous les maux ! Se consoler avec des phrases et des mots, Puiser dans l’infini morose des pensées De quoi vous rafraîchir, espérances lassées, Et n’en rien remonter que de fade et d’amer ! Puis voici, pénétrant et froid comme le fer, Plus rapide que les oiseaux et que les balles Et que le vent du sud en mer et ses rafales Et portant sur sa pointe aiguë un fin poison, Voici venir, pareil aux flèches, le soupçon Décoché par le Doute impur et lamentable. Est-ce bien vrai ? tandis qu’accoudé sur ma table Je lis sa lettre avec des larmes dans les yeux, Sa lettre, où s’étale un aveu délicieux, N’est-elle pas alors distraite en d’autres choses ? Qui sait ? Pendant qu’ici pour moi lents et moroses Coulent les jours, ainsi qu’un fleuve au bord flétri, Peut-être que sa lèvre innocente a souri ? Peut-être qu’elle est très joyeuse et qu’elle oublie ?
Il y a dans le sentiment maternel je ne sais quelle immensité qui permet de ne rien enlever aux autres affections. Honoré De Balzac
Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. C’est le livre le plus profond qui soit – et ce n’est même pas moi qui en tourne les pages. Christian Bobin
Aimer quelqu’un, c’est le dépouiller de son âme, et c’est lui apprendre aussi -dans ce rapt- combien son âme est grande, inépuisable et claire. Nous souffrons tous de cela : de ne pas être assez volés. Nous souffrons de forces qui sont en nous et que personne ne sait piller, pour nous les faire découvrir.
Christian Bobin
On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités.
Gandhi
La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres.
Romain Gary
Douces ou amères, les larmes soulagent toujours.
Alfred De Musset
Un animal, c’est de la vie enveloppée de fourrure ou d’écailles, habitée par l’inquiétude, capable oh combien capable de tendresse, de force, de courage et de peur.
Jean-Paul Lebourhis
L’enfant est pour l’humanité à la fois un espoir et une promesse. En prenant soin de cet embryon comme de notre trésor le plus précieux, nous travaillerons à faire grandir l’humanité !
Le sakura est en emblême symbole de la culture du Japon et les images de ces cerisiers en fleurs au printemps sont un ravissement naturel.
Les Sakuras fleurissent en avril et le service météo japonais tient à jour le front de floraison des cerisiers (sakura zensen) au jour le jour durant cette période. Les japonais sont très attentifs à cette information et ils adaptent leurs déplacements dans les parcs en fonction de ces informations de la floraison.
Il est vrai que le spectacle offert par la nature est tout bonnement magnifique.
Les cerisiers en fleurs tiennent donc un rôle historique et culturel plus qu’important dans la société nippone…
Messagerie
Vous devez être connecté à votre compte pour me contacter
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Merci pour vos commentaires