La vie est un sommeil, l’amour en est le rêve, Et vous aurez vécu, si vous avez aimé.
Alfred de Musset
Il en est de l’amitié comme de la pureté ; la moindre flétrissure suffit à en troubler la transparence.
Francesco Alberoni
Le bonheur de demain n’existe pas. Le bonheur, c’est tout de suite ou jamais. Ce n’est pas organiser, enrichir, dorer, capitonner la vie, mais savoir la goûter à tout instant.
René Barjavel
Un enfant c’est le dernier poète d’un monde qui s’entête à vouloir devenir grand et ça demande si les nuages ont des ailes et ça s’inquiète d’une neige tombée et ça croit que nous sommes fidèles et ça se doute qu’il n’y a plus de fées.
Trouvé errant dans les rues de Californie le 9 janvier dernier, Oliver a risqué de finir sa vie à la fourrière de Baldwin Park. Mais ça, c’était avant que son chemin ne croise celui d’un certain John Hwang…
Les refuges sont pleins à craquer de petits malheureux attendant patiemment, parfois toute leur vie, qu’une bonne âme vienne les sortir de ces froids couloirs. Triste endroit qu’Oliver, un chihuahua d’à peine 2 ans, a lui aussi eu le malheur de fréquenter il y a peu. Et pour cause, il a récemment été déposé à la fourrière de Baldwin Park, en Californie, après avoir été découvert errant dans les rues. Mais trois jours à peine après son arrivée, son destin a basculé.
Son temps libre, John Hwan, ergothérapeute quadragénaire, le passe dans les refuges à photographier les tristes poilus dans le but de partager ses clichés sur les réseaux sociaux afin d’aider les animaux à trouver une famille pour toujours. Et le 12 janvier dernier, il est tombé sur Oliver. «Il se tenait sur ses pattes arrières et joignait ensemble celles de devant. Il montait et descendait, secouant ces dernières comme s’il suppliait, implorant qu’on lui rende sa liberté», a livré l’homme sur Facebook. Le voyant ainsi «prier», il s’est alors empressé de le photographier.
«Il allait et venait nerveusement dans la cage et a fini par presser son visage contre la grille en prenant une profonde inspiration dans le monde dont il était mis à l’écart.»
Et son témoignage a eu l’effet d’une bombe. Partagé plus de 2600 fois sur le réseau social, le post de l’Américain a en effet fait mouche
démontrant une fois de plus la puissance d’Internet : Oliver a désormais trouvé un doux foyer…♥♥♥
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Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
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