Qu’est-ce que la poésie? Un instant de vie Difficile à combler. Un moment de délire Pour mieux tout supporter. Ce besoin intense de toucher Le coeur du lecteur. C’est le geste léger D’une femme qui peut Sans s’élever toucher Le coeur du bonheur. C’est la prose qui chante Qui danse et délivre l’âme De l’emprise du silence. Ah, si les mots pouvaient S’aligner sans trop en dévoiler! Oh, qu’il serait doux de penser Que l’ampleur du manque Ne serait que « souvenir »! La poésie, c’est la main Qui tremble, le regard qui se trahit; Le corps en sursis se fond dans la nuit. Et vient l’envie de s’éloigner De ce monde où rien ne nous retient Si ce n’est le besoin De crier son désespoir, de pleurer en silence
De ne plus avoir peur de dévoiler sa pudeur. La poésie, c’est le chant d’une vie,
Oh que j’aime ta définition de la poésie,oui,est-elle le chant de la vie,les mots de notre amour offerts à nos jours,se voudraient-ils vérité de toute une éternité,
Bonjour Francine
Très belle définition de la poésie .
Bell et douce journée à toi
J’espère que tu vas mieux. Je constate que ton inspiration est revenue.
Bizzzzzzzzzzzz
Tân
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Oh que j’aime ta définition de la poésie,oui,est-elle le chant de la vie,les mots de notre amour offerts à nos jours,se voudraient-ils vérité de toute une éternité,
très bonne journée à toi Francine.
Dernière publication sur Chasseur d'Images Spirituelles : La vie est bien triste à ce jour
La poésie
Sauvage plante à la croissance lente,
Du sens qui couve sous fleur entrouverte,
Ses peintures de musiques stimulantes,
Elle s’offre à l’enfantine découverte.
Parfum de bonbon qui donne le juste la,
Aux accords de sociétés qui vous sonne,
De ses sensibles surprises ici ou là,
Elle rythme les détours qui nous déraisonnent.
Claire invitation sans heurt et malheur,
A éclairer nos impuissances par ses livres,
Elle relègue apparences du bonheur,
Aux ténèbres qui nous empêchent de vivre.
Vieux mouvement coupable essentiel,
De nos restes sur terre si résiduels,
Elle lance roses de vie du ciel,
Aux noyés de la prose perpétuelle.
Au détour des tourments, par ses retournements,
Elle n’est ni défoulement ni ornement,
Mais propre détournement d’un affrontement,
A l’immobile qui à l’enfant toujours ment.
Dernière publication sur Leblogdelpapet : Soufflacus
Juste sublime !!
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Bonjour Francine
Très belle définition de la poésie .
Bell et douce journée à toi
J’espère que tu vas mieux. Je constate que ton inspiration est revenue.
Bizzzzzzzzzzzz
Tân
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C’est magnifique!
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