Petit montage que j’ai « essayé » de réaliser en pensant aux enfants, ces êtres merveilleux qui nous apportent tant de bonheur. Leur innocence est malheureusement trop souvent souillée par des êtres qui ne sont pas dignes d’être appelés « humains
Nous avons le devoir et l’obligation de les respecter.
Vos enfants ne sont pas vos enfants,
Ils sont les fils et les filles
De l’appel de la vie à elle-même.
Ils viennent à travers vous
Mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non pas vos pensées.
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leur corps, mais pas leur âme.
Car leur âme habite la maison de demain,
Que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde a hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants comme des flèches vivantes sont projetés.
L’archer voit le but sur le chemin de l’infini, et il vous tend de sa puissance,
Pour que ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’archer soit pour la joie.
Car de même qu’il aime la flèche qui vole, il aime l’arc qui est stable.
Il y a un mois, quelques heures avant sa mort programmée, ce chat a été sauvé par une famille prête à lui offrir tout l’amour qu’il mérite.
Pensionnaire de la Cat Rescue de Newcastle en Angleterre, le chat nommé Henry était dans le « couloir de la mort », prêt à être piqué pour cause de surpopulation. Alors qu’il ne lui restait plus que quelques heures à vivre, une famille l’a sauvé des bras de la faucheuse, et Henry a largement su les remercier dès le départ du refuge pour animaux.
Adelle, employée soulagée de la Cat Rescue Newcastle, a déclaré, suite à l’adoption du chat : « Une de nos familles d’accueil a sauvé ce magnifique garçon aujourd’hui ; il restait juste quelques heures avant que son temps ne soit écoulé, mais l’impossible s’est produit, quelqu’un l’a sauvé »
Henry, ce petit chat en mal d’amour, ne pouvait rien souhaiter de mieux. Aux anges, c’est avec des gros câlins qu’il a su remercier ses nouveaux parents.
♥
« On ne peut se fier à personne. Les chats, c’est autre chose. Une fois qu’ils t’acceptent dans leur vie, c’est pour toujours. «
« Nous pouvons juger le cœur d’un homme par son comportement envers les animaux. »
Emmanuel Kant (1724-1804)
Si les Hommes sont les premières victimes de la guerre qui ravage la Syrie, les animaux, eux, n’en sont pas moins touchés. Un homme leur vient en aide, envers et contre tout : Mohammad Alaa Aljaleel.
Dans le chaos qui règne à Alep depuis que la guerre a commencé, une petite lumière apparaît : un homme, Mohammad Alaa Aljaleel tient un chat blessé dans ses bras. Encore une victime collatérale du conflit qui meurtrit le pays depuis 2011.
Tous les matins, Mohammad Alaa Aljaleel se rend chez le boucher où il achète de la viande pour les 150 chiens errants d’Alep. Car sa mission, c’est de prendre soin de tous ces animaux qui, eux aussi, subissent la guerre. C’est l’objectif qu’il s’est fixé alors qu’il aurait pu fuir avec sa femme et ses trois enfants vers la Turquie. Mais tous ont choisi de rester afin de venir en aide aux plus démunis.
« Tous les animaux méritent la compassion »
« Je considère que les animaux et les humains sont dans la même lumière », a déclaré Mohammad à Newsweek. « Chacun d’entre eux ressent la douleur, et tous méritent la compassion. »
Mohammad rêve de construire un jour un refuge et un hôpital pour animaux. Mais pour l’heure, il se contente de les aider autant qu’il le peut, et ce, malgré ses détracteurs qui lui reprochent de se soucier des animaux plutôt que des humains.
Au Brésil, il est illégal de posséder des espèces sauvages comme animaux de compagnie. Si la loi permet d’éviter le trafic, le recel et la maltraitance, elle ne peut en revanche rien lorsque c’est l’animal qui fait le premier pas : voici l’histoire incroyable et très émouvante entre un manchot et un homme âgé de 71 ans.
Tout commence en 2011, lorsque Joao Pereira de Souza, maçon à la retraire et pécheur à ses heures perdues, tombe nez à nez avec un manchot en détresse sur la plage. L’animal est mal en point, il est couvert de mazout et proche de la mort. Mais Joao va faire tout ce qui est en son pouvoir pour le sauver. Pendant 11 mois, il va s’en occuper comme de son propre fils : le nourrir, le faire nager, le faire dormir, le surveiller, etc. Une fois remis sur pieds, celui qui se prénomme désormais Dindim est libéré par son sauveur et regagne l’océan.
Joao Pereira de Souza est fier de lui car son geste a pu épargner une vie. Il est à la fois heureux d’avoir réussi son pari et triste de voir son nouveau compagnon, auquel il s’était attaché, le quitter.
Mais s’il y a bien une chose à laquelle il ne s’attendait pas, c’était de revoir un jour son manchot préféré. Plus d’un an après les faits, Dindim est revenu sur cette même plage. Imaginez la surprise et l’émotion qu’a dû ressentir l’ancien maçon…
Depuis cet événement, chaque année, Dindim est de retour pour saluer celui grâce à qui il profite encore de la vie. « Je l’aime comme mon propre enfant et je pense qu’il m’apprécie aussi beaucoup. Il ne laisse personne le toucher, sous peine de morsure. Mais moi, il me connaît, il vient sur mes genoux, me laisse le nourrir, lui donner la douche et même le prendre dans mes bras » explique Joao Peireira de Souza.
En 2016, c’est la cinquième fois que Dindim revient là où il a failli mourir. « Chaque année c’est pareil, tout le monde dit qu’il ne reviendra pas, et pourtant, à chaque fois il est là. » D’après plusieurs estimations de spécialistes, Dindim nagerait entre 6 000 et 8 000 kilomètres pour revenir à cet endroit précis. C’est la preuve qu’il est possible de nouer des relations véritablement fusionnelles avec les animaux !
Tout le monde s’est déjà demandé ce que les animaux nous diraient s’ils pouvaient parler. Et surtout si on pouvait les comprendre. C’est vrai, au fond, qu’est-ce qui leur plaît chez nous? Qu’est-ce qu’ils n’aiment pas? Que ressentent-ils ? Autant de questions auxquelles il est très difficile de répondre avec certitude… Cependant, une lettre rédigée par le site spécialisé dans les animaux de compagnie ( I Love Rescues) pourrait bien être un premier élément de réponse. Parfois dure, parfois douce, elle est avant tout très émouvante et donne à réfléchir.
La voici :
« Chez maître,
C’est moi, ton chien, et il y a plusieurs choses que j’aimerais te chuchoter à l’oreille. Je sais que vous les humains, menez des vies très chargées. Certains travaillent, d’autres ont des enfants à élever. Vous semblez toujours être en train de courir ici et là. Tellement, que vous en oubliez les vrais petits bonheurs de la vie.
Tu es là, assis devant ton ordinateur, mais baisse la tête et regarde-moi. Tu vois comment mes grands yeux marron te fixent ? Ils sont moins vifs qu’avant, c’est à cause de l’âge. Les poils gris commencent aussi à envahir ma robe d’habitude si soyeuse. Tu me souris. Je vois de l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien ? Une âme ? Qui t’aime comme personne d’autre dans ce monde ? Quelqu’un qui pardonnerait n’importe quoi pour une simple caresse ?
C’est tout ce que je demande, que tu ralentisses, même pour quelques minutes seulement, et que tu sois avec moi. Tant de fois tu parais triste en lisant ce qu’il se passe sur tes écrans d’ordinateur ou de portable. Pourtant, tu continues à passer plus de temps à y être scotché plutôt que de jouer avec moi. Parfois, nous mourrons jeunes et ça vous brise le cœur. Parfois, nous vieillissons si lentement que vous ne semblez pas vraiment vous en rendre compte. Mais saches que malgré ma future mine grisonnante et ma possible cataracte, je ne cesserai jamais ne t’aimer.
La vie est ainsi faite, que je ne sais pas si je serai encore là demain. Ou la semaine prochaine. Un jour, tu me perdras et pleureras toutes les larmes de ton corps. Ce jour-là, le chagrin sera profond, tu t’en voudras de n’avoir pas plus profité du temps qu’on aurait pu passer ensemble. Tu supplieras en demandant « juste un jour de plus ». Malheureusement, il sera déjà trop tard.
Mais en attendant, je suis là ! Donc viens t’asseoir à mes côtés et profitons. Regardons-nous les yeux dans les yeux et parlons à cœurs ouverts. J’aimerais que tu sois proche de moi, non pas en tant que maître, pas non plus en tant que papa ou que maman, mais tout simplement comme un être vivant, avec tout ce que ça comporte. Je ne veux plus de barrière entre nous. Je pourrais te raconter ce qu’il y a de drôle à courir après une balle de tennis ou ce qui m’amuse à déplacer tes pantoufles sans arrêt. Tu m’as voulu dans ta vie car tu avais besoin de quelqu’un pour partager des sentiments, des émotions, des souvenirs, et des jeux, eh bien me voilà.
Je suis ton chien, je suis là pour toi. Je ressens tout et je vois tout. Je différencie sans problème les personnalités de ceux qui m’entourent, aussi complexes soient-elles. Tu sais, je ne te vois pas comme « un chien sur deux pattes », je sais ce que tu es un humain et malgré tes bizarreries, je t’aime très fort.
Allez, viens t’allonger sur le sol avec moi. Entres dans mon monde et laisse toi aller pendant quelques minutes, tu vas voir le bien fou que ça fait.
Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie de vivre et j’apprendrai à te connaître pour de bon. La vie est courte tu sais.
Donc s’il te plaît, partageons des moments ensemble, c’est tout ce que je demande.
Ton chien qui t’aime. » ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥
C’est l’histoire de Gabby, une chatte sauvée d’un refuge californien à l’âge de deux ans, et de son humaine.
A l’image des inséparables, elles ont tissé un lien si fort dès leur première rencontre que c’est ensemble qu’elles ont quitté ce monde récemment, a rapporté le site The Dodo après 13 années passées ensemble.
C’est directement dans le lit de sa nouvelle » maman » que Gabby avait foncé, y trouvant le refuge qu’elle cherchait depuis longtemps. Un refuge pour la vie… La minette est donc naturellement très vite devenue un membre à part entière de la famille mais aussi un véritable soutien pour sa bipède, lorsque celle-ci a perdu son mari. C’est patte dans la main qu’elles ont traversé cette épreuve et déménagé ensemble dans un établissement pour personnes âgées. La vieille dame ne s’imaginait en effet plus vivre sans sa douce et câline Gabby.
Un amour éternel
« Comme un enfant, j’étais émerveillée par la relation d’amour qui existait entre ma grand-mère et Gabby», s’est par ailleurs exprimée une des petites-filles de la défunte auprès du site anglophone. Et pour cause, pas une journée n’a passé sans qu’elles ne soient toutes les deux. Chaque jour pendant près de treize ans, elles ont été les meilleures amies du monde, presque des âmes sœurs : elles se levaient puis se couchaient ensemble et lorsque son humaine lisait, la chatte se blottissait contre elle.
Mais âgée de 15 ans, Gabby – bien fatiguée – a fini – comme sa maîtresse – par perdre l’appétit et beaucoup de poids. Aussi, la vieille dame – rassemblant ses forces – a emmené sa meilleure amie chez le vétérinaire où le verdict est tombé : son heure était venue, il fallait la faire partir, l’endormir pour toujours. Du mieux qu’elle a pu, elle a alors accompagné sa minette vers son sommeil éternel, jusqu’à son dernier souffle.
Et en rentrant chez elle, éreintée par ce douloureux événement, elle s’est assise dans son canapé pour s’offrir une petite sieste… dont elle ne s’est jamais réveillée. A quatre heures d’intervalle, cette chatte et son humaine sont donc parties, apaisées, sans souffrance et ensemble, comme toujours…
Réalisé par Jacob Frey, un élève de l’Institut d’animation de l’École de cinéma de Bade-Wurtemberg, à Ludwigsbourg, en Allemagne, le court-métrage « The Present » a touché la plupart des 180 festivals dans lesquels il a été présenté, en récoltant plus de 50 récompenses.
Inspiré d’une bande dessinée du Brésilien Fabio Coala, ce projet de fin d’étude émouvant raconte l’histoire d’un jeune garçon tout à fait normal : il passe trop de temps enfermé chez lui à jouer à sa console. Une passion qui le rend agressif et solitaire Mais son quotidien va être bouleversé par un adorable chiot offert par sa mère.
Martin Gray a subi les épreuves les plus atroces. Trois fois la mort a frappé à ses côtés les êtres qui lui étaient chers, le laissant seul survivant : sa mère et ses frères tués dans la chambre à gaz du camp de Treblinka, son père abattu sous ses yeux à la tête des insurgés du ghetto de Varsovie. Le 3 octobre 1970, sa femme Dina et ses quatre enfants mouraient dans l’incendie de forêt du Tanneron.
Martin Gray a voulu qu’un livre rende hommage à la mémoire de ceux qu’il a perdus, à la mémoire aussi de tous ceux qui ont disparu comme les siens. Son récit est l’un des plus bouleversants qui se puissent lire.
Je n’ai qu’une certitude : Ceux que j’ai aimés, ma famille, mes camarades, mes enfants, Demeurent vivants en moi. Ils guident encore mes pas. Leur être fidèle, ce n’est pas s’enfermer dans la douleur. Il faut continuer de creuser le sillon : droit et profond. Comme ils l’auraient fait eux-mêmes. Comme on l’aurait fait avec eux, pour eux. Etre fidèle à ceux qui sont morts, C’est vivre comme ils l’auraient vécu, c’est les faire vivre en nous . C’est transmettre leur visage, leur voix, leur message aux autres. Ainsi, la vie des disparus germe sans fin. Je ne sais pas si je dois me dire croyant. Je ne puis dire : je crois en Dieu. Je ne puis dire non plus : je crois… Ce que je sais seulement, C’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus. Je le sais, parce que tous les jours je vis avec les miens… Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens. Ce que je sais encore, c’est que l’amour est la clé de l’existence. Ce que je sais enfin, c’est que l’amour, le bien, la fidélité, l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort et de la barbarie. Tout cela, je le sais, je le crois… Dieu est-il au creux de ces certitudes ? Je ne sais pas ; je cherche.
Francine Christophe est née le 18 août 1933 , l’année où Hitler prend le pouvoir. Francine est juive. À cette époque, elle portait donc une étoile jaune, signe qu’imposaient les nazis aux juifs pour les distinguer.
À 8 ans, Francine est emmenée dans les camps de concentration de Bergen-Belsen avec sa mère. Tout ce dont elles avaient le droit, c’était d’emmener un sac avec quelques effets personnels. La maman de Francine choisit d’apporter des petits morceaux de chocolat , promettant à Francine de lui donner le jour où celle-ci serait vraiment totalement affamée, presque à terre.
Plus tard, toujours à Bergen-Belsen, une autre mère attendait un enfant. La mère de Francine de demander à sa fille : « tu te souviens que j’ai gardé un morceau de chocolat ? Si tu te sens bien, je le donnerais plutôt à Hélène, sans quoi elle risquerait de mourir.«
Voici quelques années, des décennies après la libération, Francine désormais octogénaire a organisé une conférence sur le thème : « Et s’il y avait eu des psychiatres en 1945 à notre retour des camps ? ». Durant cette conférence, Francine va faire une « rencontre » unique .
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
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