On déserte parce que la douleur est plus forte que l’envie. Parce que dans ce monde trop d’horreurs se réveillent et ôtent la vie de personnes qui se trouvaient au mauvais endroit, au mauvais moment. Parce que la peur fait partie du quotidien et que se promener devient danger. Parce que l’eau n’est plus pure et que les « hommes » ne s’en inquiètent pas ou très peu. Parce que, quoiqu’on pense, il faut se taire. Notre avis n’intéresse plus personne et puis parler est dangereux. Guy Béart a chanté : « Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté » Il en a payé le prix et bien d’autres également. Alors, il faut continuer à vivre comme si de rien n’était.. Mais continuer jusqu’à quand et pourquoi et pour qui?
Je passerai sur les blogs et vous remercie pour vos passages sur le mien et vos commentaires
La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C’est une personne, la vie, une personne qu’il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t’attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t’écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu’elle t’envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée. (Katherine Pancol)
Soyez les poètes de votre vie. Osez chaque jour mettre du bleu à votre regard, de l’orange au bout de vos doigts, un sourire dans votre écoute et surtout, surtout, de la tendresse dans chacun de vos gestes.
Jacques Salomé
Dans la vie, il faut parfois faire des choix, et parfois ce sont les choix qui te font.
Une tribu d’indiens d’Amazonie a pris connaissance, pour la première fois d’images de notre civilisation, à savoir des vidéos de prouesses technologiques, de modernités, etc… Dans le même temps, ils ont donné leurs impressions sur ce qu’ils voyaient et ont livré leurs réactions pleines de bon sens. Cette vidéo est un extrait d’un reportage réalisé par TF1 en juin 2014..
Je suis bien souvent « absente » des blogs car trop de douleurs m’empêchent de vivre comme j’aimerais . Assise trop longtemps fait mal. Marcher fait mal..Ne pas bouger fait mal..Oh, ce n’est pas mortel, non…Et puis, qui peut comprendre quand cela ne se voit pas?
Pouvoir trouver les mots qu’il faut pour exprimer son désarroi face à l’indifférence est peut-être la seule consolation qui existe… Je n’aime pas me plaindre, non pas du tout.
Quand le matin, la souffrance vous rappelle à l’ordre, il faut bien obéir…Faire une ballade? Non! Un peu de lèche-vitrine? Non! Danser? Non! Alors on reste là chez soi! Une douleur permanente est usante tant physiquement que psychologiquement . Plus de projets à long terme, juste au jour le jour.
Et la peine en plus...
Cet attentat contre Charlie Hebdo m’a bouleversée, choquée, attristée . Tous ces crimes odieux commis de sang froid …Bien sûr que les caricatures dérangeaient..Je ne sais pas s’il est bien de se moquer de tout. Mais tuer pour se venger, quelle bassesse, quelle honte! Et les autres victimes, que leur reprochait-on? Mais ce n’était pas suffisant, hier des otages, et encore des victimes…La haine appelle la haine : je le lis et je constate que plutôt que d’unir leur force, beaucoup se lancent des injures dans les commentaires laissés sous des articles ou vidéos.. Je ne puis « m’habituer » à cet état de choses comme beaucoup d’ailleurs..
Je découvre cette vidéo de Guy Bedos ( ajoutée en 2012) Là, je suis écoeurée)
Ce n’est pas parce qu’on ne fait pas rire, qu’on doit mourir Monsieur Bedos
Autres propos lorsqu’on lit ce qu’il ressent actuellement (cliquer sur la photo ci-dessous)
Sans commentaire
Et la vie continue et nous rêvons tous d’un monde meilleur
Nous créons un monde où chacun, où qu’il se trouve, peut exprimer ses idées, aussi singulières qu’elles puissent être, sans craindre d’être réduit au silence ou à une norme. John Perry Barlow
La nature n’en fini jamais de nous étonner. Au cœur de la foret amazonienne, les papillons ne trouvent pas d’eau assez riche en sodium, pourtant nécessaire à leurs survie. Les tortues secrétant naturellement du sodium dans leurs larmes sont devenues leurs proies. Peu de monde a déjà assisté à ce spectacle, ou l’on voit de nombreux papillons littéralement harceler des tortues pour s’abreuver du sodium de leurs larmes.
Phil Torres, un chercheur en Amazonie, explique que si les insectes ne sont pas un danger pour les tortues en soit, ils les mettent néanmoins en danger car leur ballet incessant autour de l’animal attire les prédateurs.
Le pardon est pour moi un geste d’amour.. C’est un cadeau que l’on offre à ceux qui nous ont blessé, que ce soit par des paroles désobligeantes qui nous ont fait pleurer… Ou par des gestes déplacés qui nous ont déséquilibré… Pardonner, c’est aussi un signe de sagesse, car cela demande beaucoup de courage et cela n’est vraiment pas toujours facile de faire cet effort… Mais c’est le plus beau cadeau que l’on peut se faire pour nous aider à retrouver la paix intérieure et continuer de grandir dans notre coeur. Être capable de pardonner, c’est se donner la chance de vivre en équilibre avec soi-même, sans rancune, sans colère et sans méchanceté. Sans ce sentiment de frustration qui nous étouffe et qui nous rend malheureux en venant tourmenter notre esprit tout en nous rongeant l’intérieur… Pardonner, c’est déposer une rose dans le jardin de l’amour car c’est dans notre coeur que ses pétales s’ouvriront, pour venir embellir ces précieux moments de bonheur où tu connais la joie de redonner à quelqu’un une seconde chance de bonheur. » Je te pardonne » est un mot qui guérit et enrichit notre vie.
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
Merci pour vos commentaires