Ce spot publicitaire met en scène une petite fille qui explique que son père est un menteur, car il lui fait croire qu’il n’a pas de problèmes financiers. Il se sacrifie pour son bien être. Une vidéo bouleversante et pleine d’émotions.
Cette publicité de la division de Hong-Kong de la compagnie d’assurance MetLife est très touchante
On y voit une mignonne petite fille qui sort de l’école et remet une lettre à son père. Au départ, celui-ci est fou de joie en lisant qu’il est le plus le plus beau, le plus intelligent, le plus malin, le plus gentil et le plus doux des papas au monde. Mais sa réaction va changer dans la deuxième partie de la lettre où sa fille se traite de menteur, ce qui est la vérité… En effet, il ment à sa fille, car contrairement aux apparences, il n’a pas d’emploi ni d’argent. Il se sacrifie pour qu’elle puisse grandir normalement et faire des études.
Un spot bouleversant qui évoque les sacrifices que les parents font pour l’éducation de leurs enfants et souligne à quel point ce rôle est difficile, et d’autant plus quand on a pas de travail ni d’argent.
Via cette publicité, la société d’assurance MetLife rappelle qu’elle valorise le rêve de tous les parents de donner à leurs enfants une bonne éducation pour poursuivre une vie meilleure.
« Nous pouvons juger le cœur d’un homme par son comportement envers les animaux. »
Emmanuel Kant (1724-1804)
Si les Hommes sont les premières victimes de la guerre qui ravage la Syrie, les animaux, eux, n’en sont pas moins touchés. Un homme leur vient en aide, envers et contre tout : Mohammad Alaa Aljaleel.
Dans le chaos qui règne à Alep depuis que la guerre a commencé, une petite lumière apparaît : un homme, Mohammad Alaa Aljaleel tient un chat blessé dans ses bras. Encore une victime collatérale du conflit qui meurtrit le pays depuis 2011.
Tous les matins, Mohammad Alaa Aljaleel se rend chez le boucher où il achète de la viande pour les 150 chiens errants d’Alep. Car sa mission, c’est de prendre soin de tous ces animaux qui, eux aussi, subissent la guerre. C’est l’objectif qu’il s’est fixé alors qu’il aurait pu fuir avec sa femme et ses trois enfants vers la Turquie. Mais tous ont choisi de rester afin de venir en aide aux plus démunis.
« Tous les animaux méritent la compassion »
« Je considère que les animaux et les humains sont dans la même lumière », a déclaré Mohammad à Newsweek. « Chacun d’entre eux ressent la douleur, et tous méritent la compassion. »
Mohammad rêve de construire un jour un refuge et un hôpital pour animaux. Mais pour l’heure, il se contente de les aider autant qu’il le peut, et ce, malgré ses détracteurs qui lui reprochent de se soucier des animaux plutôt que des humains.
La vieillesse n’est pas toujours une hôtesse incommode : elle parait telle à vos yeux si vous ne faites attention qu’à ses rides. Accueillez-la avec bonté et vous verrez que la gaieté accompagne encore les cheveux blancs.
Adolphe d’Houdetot
La dureté endurcit le coeur, et le ferme à tous sentiments de piété et de tendresse. Jean-Baptiste Massillon
Toutes les mères viennent en aide aux sottises de leurs fils et les protègent contre la dureté des pères. Térence
Que d’aimables petits mots que la femme qu’on aime seule comprend ! que de soins imperceptibles qui échappent à tout autre ! Elle paraît, et le cœur se dilate ; elle s’éloigne, et le cœur se resserre ;… elle revient, et on distinguerait son pas entre mille autres femmes. Ses paroles peignent moins ses pensées que l’inflexion de sa voix, il suffit d’entendre prononcer son nom pour frémir doucement.
François-Rodolphe Weiss
L’amour est la chaleur inépuisable qui rajeunit les êtres, qui les fait fleurir avec grâce et les revêt d’espérance ; c’est l’attrait inséparable de tout signe de perfection. L’amour bien senti suppose le goût de ce qui est beau, de ce qui est honnête, sincère et généreux.
Étienne Pivert de Senancour
Il y a des saisons de vie plus ou moins longues, faites de grisaille, de brouillard, de froid, d’obscurité ou d’errance qui vont alterner avec l’apaisement de matins ensoleillés, des jours chargés d’opulence et de bienfaits.
« Rien n’est admirable comme une verdure débarbouillée par la pluie et essuyée par le rayon ; c’est de la fraîcheur chaude. Les jardins et les prairies, ayant de l’eau dans leurs racines et du soleil dans leurs fleurs, deviennent des cassolettes d’encens et fument de tous leurs parfums à la fois. Tout rit, chante et s’offre. On se sent doucement ivre. Le printemps est un paradis provisoire ; le soleil aide à faire patienter l’homme. »
Brussels Airport : une dizaine de personnes sont décédées et une centaine sont blessées Maelbeek : une vingtaine de personnes sont décédées et environ 130 sont blessées Le niveau de menace est évalué à 4 pour l’ensemble du pays et ce tant que cela sera nécessaire. Des perquisitions continuent à Schaerbeek où une bombe, des produits chimiques et un drapeau de l’Etat islamique ont été découverts……. ( sources rtb F infos)
Au Brésil, il est illégal de posséder des espèces sauvages comme animaux de compagnie. Si la loi permet d’éviter le trafic, le recel et la maltraitance, elle ne peut en revanche rien lorsque c’est l’animal qui fait le premier pas : voici l’histoire incroyable et très émouvante entre un manchot et un homme âgé de 71 ans.
Tout commence en 2011, lorsque Joao Pereira de Souza, maçon à la retraire et pécheur à ses heures perdues, tombe nez à nez avec un manchot en détresse sur la plage. L’animal est mal en point, il est couvert de mazout et proche de la mort. Mais Joao va faire tout ce qui est en son pouvoir pour le sauver. Pendant 11 mois, il va s’en occuper comme de son propre fils : le nourrir, le faire nager, le faire dormir, le surveiller, etc. Une fois remis sur pieds, celui qui se prénomme désormais Dindim est libéré par son sauveur et regagne l’océan.
Joao Pereira de Souza est fier de lui car son geste a pu épargner une vie. Il est à la fois heureux d’avoir réussi son pari et triste de voir son nouveau compagnon, auquel il s’était attaché, le quitter.
Mais s’il y a bien une chose à laquelle il ne s’attendait pas, c’était de revoir un jour son manchot préféré. Plus d’un an après les faits, Dindim est revenu sur cette même plage. Imaginez la surprise et l’émotion qu’a dû ressentir l’ancien maçon…
Depuis cet événement, chaque année, Dindim est de retour pour saluer celui grâce à qui il profite encore de la vie. « Je l’aime comme mon propre enfant et je pense qu’il m’apprécie aussi beaucoup. Il ne laisse personne le toucher, sous peine de morsure. Mais moi, il me connaît, il vient sur mes genoux, me laisse le nourrir, lui donner la douche et même le prendre dans mes bras » explique Joao Peireira de Souza.
En 2016, c’est la cinquième fois que Dindim revient là où il a failli mourir. « Chaque année c’est pareil, tout le monde dit qu’il ne reviendra pas, et pourtant, à chaque fois il est là. » D’après plusieurs estimations de spécialistes, Dindim nagerait entre 6 000 et 8 000 kilomètres pour revenir à cet endroit précis. C’est la preuve qu’il est possible de nouer des relations véritablement fusionnelles avec les animaux !
Tout le monde s’est déjà demandé ce que les animaux nous diraient s’ils pouvaient parler. Et surtout si on pouvait les comprendre. C’est vrai, au fond, qu’est-ce qui leur plaît chez nous? Qu’est-ce qu’ils n’aiment pas? Que ressentent-ils ? Autant de questions auxquelles il est très difficile de répondre avec certitude… Cependant, une lettre rédigée par le site spécialisé dans les animaux de compagnie ( I Love Rescues) pourrait bien être un premier élément de réponse. Parfois dure, parfois douce, elle est avant tout très émouvante et donne à réfléchir.
La voici :
« Chez maître,
C’est moi, ton chien, et il y a plusieurs choses que j’aimerais te chuchoter à l’oreille. Je sais que vous les humains, menez des vies très chargées. Certains travaillent, d’autres ont des enfants à élever. Vous semblez toujours être en train de courir ici et là. Tellement, que vous en oubliez les vrais petits bonheurs de la vie.
Tu es là, assis devant ton ordinateur, mais baisse la tête et regarde-moi. Tu vois comment mes grands yeux marron te fixent ? Ils sont moins vifs qu’avant, c’est à cause de l’âge. Les poils gris commencent aussi à envahir ma robe d’habitude si soyeuse. Tu me souris. Je vois de l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien ? Une âme ? Qui t’aime comme personne d’autre dans ce monde ? Quelqu’un qui pardonnerait n’importe quoi pour une simple caresse ?
C’est tout ce que je demande, que tu ralentisses, même pour quelques minutes seulement, et que tu sois avec moi. Tant de fois tu parais triste en lisant ce qu’il se passe sur tes écrans d’ordinateur ou de portable. Pourtant, tu continues à passer plus de temps à y être scotché plutôt que de jouer avec moi. Parfois, nous mourrons jeunes et ça vous brise le cœur. Parfois, nous vieillissons si lentement que vous ne semblez pas vraiment vous en rendre compte. Mais saches que malgré ma future mine grisonnante et ma possible cataracte, je ne cesserai jamais ne t’aimer.
La vie est ainsi faite, que je ne sais pas si je serai encore là demain. Ou la semaine prochaine. Un jour, tu me perdras et pleureras toutes les larmes de ton corps. Ce jour-là, le chagrin sera profond, tu t’en voudras de n’avoir pas plus profité du temps qu’on aurait pu passer ensemble. Tu supplieras en demandant « juste un jour de plus ». Malheureusement, il sera déjà trop tard.
Mais en attendant, je suis là ! Donc viens t’asseoir à mes côtés et profitons. Regardons-nous les yeux dans les yeux et parlons à cœurs ouverts. J’aimerais que tu sois proche de moi, non pas en tant que maître, pas non plus en tant que papa ou que maman, mais tout simplement comme un être vivant, avec tout ce que ça comporte. Je ne veux plus de barrière entre nous. Je pourrais te raconter ce qu’il y a de drôle à courir après une balle de tennis ou ce qui m’amuse à déplacer tes pantoufles sans arrêt. Tu m’as voulu dans ta vie car tu avais besoin de quelqu’un pour partager des sentiments, des émotions, des souvenirs, et des jeux, eh bien me voilà.
Je suis ton chien, je suis là pour toi. Je ressens tout et je vois tout. Je différencie sans problème les personnalités de ceux qui m’entourent, aussi complexes soient-elles. Tu sais, je ne te vois pas comme « un chien sur deux pattes », je sais ce que tu es un humain et malgré tes bizarreries, je t’aime très fort.
Allez, viens t’allonger sur le sol avec moi. Entres dans mon monde et laisse toi aller pendant quelques minutes, tu vas voir le bien fou que ça fait.
Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie de vivre et j’apprendrai à te connaître pour de bon. La vie est courte tu sais.
Donc s’il te plaît, partageons des moments ensemble, c’est tout ce que je demande.
Ton chien qui t’aime. » ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire...
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